Tu as peut-être déjà entendu parler de l’ikigai sans vraiment savoir ce que ça signifie. C’est quoi l’ikigai, au juste ? Un concept japonais ? Un schéma en cercles colorés ? Une méthode à la mode sur LinkedIn ? Eh bien… un peu tout ça à la fois. Mais surtout, c’est une boussole intérieure qui peut t’aider à retrouver le sens dans ta vie professionnelle. Rien que ça.
Et si tu es là, c’est sûrement parce que tu te poses des questions. Peut-être que tu ne te sens plus à ta place dans ton activité actuelle. Peut-être que tu veux te reconvertir, affiner ton positionnement, ou tout simplement retrouver du plaisir dans ce que tu fais chaque jour. Bonne nouvelle : tu es au bon endroit.
Dans cet article, je vais t’expliquer de façon simple, concrète et accessible comment fonctionne l’ikigai, comment faire ton propre ikigai, et surtout comment t’en servir pour trouver ta voie professionnelle. On parlera introspection, stratégie, outils concrets, mais aussi joie, équilibre et authenticité.
Prêt à reconnecter avec ce qui t’anime vraiment ? Alors suis-moi, on commence par la base : la définition de l’ikigai et d’où il vient.
Origines et définition de l’ikigai

À la source : Okinawa et les centenaires
Avant même de parler stratégie pro ou reconversion, laisse-moi t’emmener à l’autre bout du monde. Plus précisément sur une île japonaise paisible et réputée : Okinawa. Tu en as peut-être entendu parler comme de “l’île des centenaires” ? Eh bien, ce n’est pas une légende.
Des études démographiques (notamment celles de Gianni Pes et Michel Poulain, sur les fameuses “Blue Zones”) ont montré qu’Okinawa compte une proportion exceptionnellement élevée de personnes âgées vivant longtemps… et en bonne santé.
Leur secret ? Une alimentation saine, une vie active, un esprit communautaire fort… mais surtout : un concept profondément ancré dans leur culture, qu’on appelle l’ikigai.
L’ikigai, c’est cette raison de se lever le matin. Pas juste pour aller au boulot ou faire ses courses, mais pour vivre une journée qui a du sens. Chez les anciens d’Okinawa, ça peut être garder les petits-enfants, cultiver un jardin, transmettre leur savoir ou participer à la vie du village. Ce n’est pas “gagner plus” qui les motive, mais “rester utile” et “être à leur place”.
Évolution du concept Ikigai en Occident
Aujourd’hui, l’ikigai a traversé les océans et conquis l’Occident, notamment grâce à des ouvrages comme La Méthode Ikigai de Héctor Garcia et Francesc Miralles, ou encore Le Petit Livre de l’Ikigai de Ken Mogi. Mais au passage, le concept a un peu évolué.
Chez nous, on parle souvent d’ikigai dans un contexte pro. C’est devenu un outil de réflexion, voire de reconversion. En gros, on cherche à répondre à cette grande question :
“Quelle activité peut me permettre d’exprimer mes talents, de contribuer à quelque chose qui a du sens, tout en me permettant de gagner ma vie ?”
Et c’est là que l’ikigai devient super pertinent pour toi, si tu es entrepreneur, freelance, coach ou formateur·rice… ou simplement en quête de clarté dans ton parcours pro. Car on va pas se mentir : parfois, t’as l’impression de tourner en rond, de bosser sans savoir pourquoi. Et c’est exactement là que l’ikigai entre en scène.
Maintenant, on va explorer en détail les 4 piliers fondamentaux de ce concept. C’est la base pour comprendre comment fonctionne l’ikigai.
Les 4 piliers fondamentaux de l’ikigai

Tu vas voir, l’ikigai, ce n’est pas juste une idée abstraite venue du Japon. C’est aussi une méthode concrète qui repose sur 4 grandes questions. Quatre cercles qui, une fois croisés, t’aident à trouver ce fameux point d’équilibre entre ce que tu aimes, ce que tu sais faire, ce que le monde attend… et ce qui peut te faire vivre.
Ce que j’aime faire (passion)
On commence par le plus instinctif : ce que tu aimes. C’est le moteur, le truc qui te fait vibrer, même quand personne ne te regarde. C’est peut-être cuisiner, animer un podcast, accompagner des gens, coder, faire des vidéos, écrire… Peu importe. L’idée ici, c’est de lister ce qui te donne de la joie.
Demande-toi :
- Quelles activités me procurent du plaisir, même après une journée chargée ?
- Qu’est-ce que je fais sans voir le temps passer ?
- Quelles sont les choses que j’envie chez les autres (mais que je pourrais faire moi aussi) ?
💡 Ce n’est pas grave si tes réponses sont un peu “en vrac” au départ. C’est normal. On est dans l’introspection, pas dans l’analyse de performance.
Ce pour quoi je suis doué (vocation)
Ensuite, cap sur tes talents. Et attention, ici, on ne parle pas uniquement de diplômes ou d’expériences. Tu peux être doué pour écouter les gens, résoudre des conflits, synthétiser des idées, dessiner, improviser, structurer des process…
Voici quelques pistes pour creuser :
- Qu’est-ce que les autres disent de moi régulièrement ?
- Dans quels domaines j’ai des facilités naturelles ?
- Quelles sont les compétences que j’ai développées, parfois sans m’en rendre compte ?
👉 Combine ça à ce que tu aimes, et tu auras déjà identifié ta passion (aimer + être doué), ou ta vocation (être doué + c’est utile au monde).
Ce dont le monde a besoin (mission)
Troisième pilier : ce dont le monde a besoin. Et là, on peut voir grand… ou très personnel.
Tu peux penser à :
- Des causes sociales qui te touchent
- Des besoins concrets que tu observes autour de toi
- Des choses que tu aurais aimé qu’on t’offre (et que tu pourrais proposer aux autres)
Exemples : plus de clarté dans les offres des formateurs, une meilleure éducation émotionnelle pour les enfants, du coaching bienveillant pour les mères entrepreneures, un réseau solidaire entre freelances…
Ce pilier, c’est celui de la mission de vie : quand ce que tu fais est utile aux autres, tu sens que ta contribution compte. Et ça, c’est un carburant puissant.
Ce pour quoi je peux être payé (profession)
Dernier pilier, mais pas des moindres : ce pour quoi tu peux être rémunéré.
Parce que oui, tu peux adorer faire des gâteaux et être doué pour ça, mais si personne ne veut les acheter ou que tu ne veux pas les vendre… ce n’est pas encore ton ikigai (mais peut-être une belle passion !).
Ici, l’idée est de te poser des questions simples :
- Pour quoi est-ce que je suis payé aujourd’hui ?
- Pour quoi pourrais-je être payé demain ?
- Existe-t-il un marché pour ce que je sais faire ?
- Comment d’autres gens, dans mon domaine, gagnent leur vie ?
💸 Et rappelle-toi : être “payé”, ce n’est pas que de l’argent. Ça peut aussi être de la reconnaissance, du troc, du soutien, de la visibilité. Comme le dit Marine Parmelan (coach experte en ikigai) : “je préfère parler de rétribution plutôt que de salaire”.
Le schéma Ikigai en rosace
Imagine maintenant un schéma avec ces 4 cercles qui se croisent :
- Aimer + être doué = passion
- Aimer + c’est utile au monde = mission
- Utile + rétribué = vocation
- Rétribué + doué = profession
Et au centre, là où les 4 se rejoignent… Bingo ! C’est ton ikigai.

Mais attention, ce n’est pas parce que tu touches à deux ou trois cercles que c’est suffisant. Par exemple :
=> Si tu adores faire de la poterie et que tu es très doué, mais que personne ne t’en achète… c’est peut-être une passion, pas encore un métier passion.
=> À l’inverse, si tu gagnes bien ta vie en tant que développeur mais que tu détestes coder et que ça ne sert à rien pour toi : tu es loin de l’ikigai.
Donc oui, c’est un équilibre subtil, mais aussi un formidable révélateur. Tu comprends mieux comment fonctionne l’ikigai, non ?
Ensuite, on va voir pourquoi l’ikigai est particulièrement utile quand tu es entrepreneur ou que tu veux redonner du sens à ton business.
Pourquoi utiliser l’ikigai en entrepreneuriat et business

Tu te demandes peut-être : ok, l’ikigai c’est cool comme concept, mais concrètement, à quoi ça sert dans mon quotidien d’entrepreneur ou de professionnel·le indépendant·e ? La réponse est simple : à tout. L’ikigai, c’est bien plus qu’un joli schéma à imprimer. C’est un véritable levier de motivation, de clarté et de différenciation dans ton activité.
Motivation profonde et alignement des actions
Quand tu sais pourquoi tu fais ce que tu fais, tout devient plus fluide. Tu ne bosses plus “par défaut”, tu avances avec une boussole interne. Résultat : tu tiens mieux dans la durée, tu gères mieux les hauts et les bas, et tu retrouves du plaisir dans ce que tu construis.
Et surtout, ça t’aide à éviter un des pièges les plus fréquents chez les freelances ou créateurs de business en ligne : se retrouver piégé dans une activité qui marche… mais qui ne te ressemble plus.
🧭 Avec ton ikigai comme guide, tu réalignes ton offre, ton positionnement, tes canaux de communication, ton modèle économique… bref, tu peux atteindre ton plein potentiel !
Confiance en soi, santé mentale, résilience
Là où l’ikigai fait très fort, c’est sur le plan de la santé mentale. Une étude publiée dans le British Journal of Psychology (Zika & Chamberlain, 1992) a démontré que le fait de vivre une vie porteuse de sens était directement corrélé à un meilleur bien-être psychologique.
Quand tu vis en accord avec ton ikigai :
- Tu ressens plus de satisfaction au quotidien
- Tu réduis ton niveau de stress
- Tu développes ta résilience face aux imprévus
- Tu renforces ta confiance en toi
Et franchement, quand on sait à quel point la solitude, le doute et la charge mentale peuvent impacter les entrepreneurs… ça donne envie de se pencher sérieusement sur la question.
Outil stratégique pour les formateurs, freelances, coachs
Tu es prestataire, formateur, accompagnant ? Alors l’ikigai peut devenir ton meilleur outil business.
Pourquoi ? Parce que dans ton métier, toi et ton offre ne faites qu’un. Si tu es aligné avec ce que tu proposes, ton message sera plus clair, plus convaincant, plus impactant. Tes clients le ressentiront.
- Tu peux construire une offre qui te ressemble vraiment
- Tu oses assumer ta différence et ta singularité
- Tu attires les bons clients (ceux qui partagent tes valeurs)
- Tu trouves un meilleur équilibre entre vie pro et perso
Et surtout… tu ne t’épuises plus à copier les autres ou à suivre des stratégies qui ne te conviennent pas. Tu crées un business qui a du sens pour toi.
👉 C’est aussi pour ça que des ressources comme Le blog du dirigeant peuvent t’aider à aller plus loin dans ta réflexion stratégique. Ce site est une référence pour les pros qui cherchent à structurer leur activité avec une vraie vision. Tu y trouveras des conseils concrets pour aligner ton modèle de business avec ce qui t’anime vraiment.
Maintenant que tu vois tout ce que l’ikigai peut t’apporter en tant qu’entrepreneur, il est temps de passer à la pratique. On va voir ensemble comment faire ton ikigai étape par étape.
Étapes pratiques pour construire son ikigai professionnel

Tu l’as compris : l’ikigai, ce n’est pas juste une jolie idée à méditer sous un cerisier en fleurs. C’est une vraie démarche introspective, un outil que tu peux utiliser pour construire une vie pro qui a du sens. Alors, comment faire son ikigai de façon concrète ? Je t’explique tout, étape par étape.
Phase 1 : introspection
C’est là que tout commence. Pas besoin d’un coach ou d’un template ultra-sophistiqué. Juste toi, un carnet ou une feuille blanche, et une bonne dose d’honnêteté.
Alors, comment faire une introspection ?
Commence par répondre aux 4 questions clés :
- Qu’est-ce que j’aime vraiment faire ? : Note tout ce qui te met en joie, te fait vibrer, même les petites choses simples. Ne censure rien.
- Quels sont mes talents, mes compétences naturelles ? : Demande-toi aussi ce que les autres reconnaissent chez toi. Même des qualités “douces” comme l’écoute, la capacité à rassembler, à expliquer simplement…
- De quoi le monde a-t-il besoin ? : Là, on touche à ton envie de contribuer. Y a-t-il des injustices, des besoins, des causes qui t’interpellent ? As-tu envie d’aider les autres à apprendre, à se libérer, à changer quelque chose ?
- Pour quoi pourrais-je être payé ? : Qu’est-ce qui, dans ce que tu sais ou aimes faire, a une valeur sur le marché ? Regarde autour de toi : quelles compétences vois-tu monétisées chez d’autres ?
📝 Conseil de pro : note aussi ce que tu ne veux plus ou ce que tu ne veux pas devenir. Cela t’évitera de construire une activité en opposition totale avec ton ikigai.
Phase 2 : visualiser et croiser
Une fois que tu as bien creusé les 4 composantes, il est temps de les croiser. C’est là que la magie opère.
👉 Tu peux tracer les 4 cercles qui se chevauchent (comme dans les schémas d’ikigai qu’on trouve en ligne), ou simplement lister les éléments en colonne puis chercher des intersections.
Tu vas voir apparaître des liens entre certaines réponses. Peut-être que :
- Tu adores transmettre (ce que tu aimes)
- Tu es bon pour vulgariser des concepts (ce pour quoi tu es doué)
- Tu veux aider les gens à oser se lancer (ce dont le monde a besoin)
- Et tu peux être payé pour du coaching ou de la formation (ce pour quoi tu es rétribué)
💥 Bam. Là, tu tiens peut-être un début de zone d’ikigai (ta zone de génie) !
Phase 3 : sélectionner 2–3 activités cœur
Maintenant que tu as une vue d’ensemble, isole 2 ou 3 idées concrètes qui cochent les 4 cases. Tu peux te poser ces questions :
- Est-ce que cette activité m’enthousiasme ?
- Est-ce que je me vois la pratiquer régulièrement ?
- Est-ce qu’elle est réaliste et alignée avec mes contraintes actuelles ?
L’idée, c’est de ne pas te retrouver avec 15 idées à moitié motivantes, mais plutôt quelques pistes solides à explorer vraiment.
Et n’oublie pas : il n’y a pas qu’un seul ikigai dans la vie. Il peut y avoir plusieurs expressions possibles selon ton âge, ton contexte, tes envies.
Phase 4 : tester et ajuster
Trouver son ikigai ne veut pas dire tout quitter du jour au lendemain. Tu peux avancer par petits pas.
Exemples :
- Créer une offre pilote en side-project
- Lancer une micro-formule de coaching
- Proposer un service gratuit pour tester un concept
- Faire une série de posts sur LinkedIn pour voir ce qui résonne
🧪 Le secret, c’est le test & learn. Tu avances, tu ajustes. Tu ne pourras pas tout savoir en théorie. Ton ikigai, tu le valides dans l’action.
Comme le résume bien Marine Parmelan, coach certifiée : “Un ikigai fondamental semble nous porter tout au long de notre vie, mais il change en fonction de notre évolution.”
Phase 5 : ancrer durablement
Une fois que tu sens que tu tiens quelque chose, il faut créer des habitudes pour vivre ton ikigai au quotidien.
Quelques idées :
- Démarrer ta journée par une action qui te rapproche de ton ikigai
- Te former chaque semaine dans le domaine qui t’aligne le plus
- Créer une offre ou un contenu qui te fait vibrer
- Prendre un moment chaque mois pour faire le point et t’ajuster
Et surtout, n’oublie pas d’apprécier le chemin. Même les petites avancées comptent. Comme le dit si bien la philosophie japonaise liée à l’ikigai : “Commence petit, savoure chaque instant, et avance à ton rythme.”
Outils & conseils pour mettre en pratique l’ikigai

Maintenant que tu connais les étapes pour construire ton ikigai, passons à la boîte à outils. Parce que oui, réfléchir c’est bien, mais mettre les mains dans le cambouis et dépasser ses croyances limitantes, c’est encore mieux. Et rassure-toi, tu n’as pas besoin d’un logiciel complexe ou d’un coach à 2 000 € pour démarrer. Voici tout ce qu’il te faut pour faire de l’ikigai un vrai compagnon de route dans ton aventure pro.
Feuille blanche, stylos… et introspection profonde
Le premier outil ? Une simple feuille de papier.
Oui, oui. Tu prends une feuille A4, tu dessines 4 cercles qui se chevauchent, et tu notes dedans :
- Ce que tu aimes
- Ce pour quoi tu es doué
- Ce dont le monde a besoin
- Ce pour quoi tu peux être payé
Pas besoin d’être un as du dessin. Ce qui compte, c’est de remplir les cercles avec des idées sincères et concrètes. Et surtout : ne juge pas tes réponses.
💡 Astuce : fais une première version aujourd’hui, puis reprends-la dans 3 jours. Tu verras, certaines idées auront mûri, d’autres seront tombées.
Des outils visuels si tu es plus “cerveau droit”
Si tu préfères un support plus design, tu peux aussi utiliser :
- Canva : tape “ikigai” dans le moteur de recherche, tu trouveras des modèles prêts à compléter.
- Miro ou Notion : parfait pour créer un tableau d’idées ou une mindmap.
- Google Jamboard ou Figma : si tu aimes poser des post-its virtuels partout.
🎯 L’important, ce n’est pas l’outil. C’est le fait de structurer ta pensée et de te voir avancer.
Exemples d’exercices simples à tester
Tu veux aller plus loin sans te prendre la tête ? Voici quelques mini-exercices à intégrer à ton rituel :
- L’exercice du “flow” : repère dans ta semaine les moments où tu oublies l’heure, où tu es à fond dans une tâche. Tu es sans doute dans ta zone d’ikigai.
- L’exercice des compliments : demande à 5 personnes de ton entourage ce qu’ils considèrent comme tes 3 plus grandes forces. Tu risques d’avoir des surprises !
- La journée idéale : décris ta journée parfaite, heure par heure. Quelles activités ressortent ? Avec qui es-tu ? Où es-tu ? C’est une mine d’or.
Et si tu aimes les méthodes guidées, tu peux jeter un œil au livre Mon programme Ikigaï de Caroline de Surany. C’est très accessible et bien construit.
Ose sortir de ta zone de confort (mais en douceur)
Trouver son ikigai, c’est aussi oser se réinventer. Mais attention, pas besoin de tout plaquer du jour au lendemain.
Pour sortie de ta zone de confort, tu peux commencer par :
- Tester une nouvelle offre en parallèle de ton activité actuelle
- T’inscrire à une formation courte
- Participer à un événement ou une communauté liée à ton ikigai
Et surtout, rappelle-toi : ton ikigai n’a pas besoin d’être parfait dès le début. C’est un processus vivant, qui s’affine avec le temps, au rythme de tes expériences, de tes envies, et même de tes erreurs.
Dans la section suivante, on va justement voir des témoignages concrets de personnes qui ont utilisé la méthode ikigai pour transformer leur vie pro. Tu vas voir, c’est super inspirant.
Le mot de la fin sur comment faire son ikigai
Tu l’auras vu, l’ikigai n’est pas une baguette magique… mais c’est un véritable outil de transformation quand tu te poses des questions sur ton avenir professionnel. Il t’aide à reconnecter avec tes envies profondes, à donner du sens à ce que tu fais chaque jour, et à aligner ton activité avec ce que tu es vraiment.
Que tu sois en reconversion, en quête de sens, ou simplement curieux d’explorer une autre manière de voir ton métier, la méthode ikigai peut devenir ton meilleur allié. Elle t’offre un cap, une boussole, une direction pour construire un business plus humain, plus durable, et surtout plus joyeux.
Alors, si tu sens que c’est le bon moment pour remettre les choses à plat (avant de commencer à détester ton travail), je t’invite à te poser, à sortir une feuille, et à commencer ton ikigai dès aujourd’hui. Prends ton temps, sois sincère, ose rêver… et avance à ton rythme.
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